Bestiaire

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

J’ai fais une découverte il y a peu. Pendant une longue période j’étais obnubilé par mes découvertes et l’écriture du premier carnet. Je mêlais ma propre histoire dans ces pages détaillant les particularités et les légendes entourant toutes ces créatures.

Je m’étais plongé si profondément dans mes rêves et mes observations que j’en ai omis les personnes que j’ai eu la joie de rencontrer lors de mes pérégrinations.

Beaucoup de choses ont changé depuis le premier carnet du Monstrorium, et une des plus significatives est la rencontre de Viceran, un voyageur comme moi, bien qu’il soit plus compétent à l’épée ! Il m’a sorti du pétrin plus d’une fois et sans lui je ne pense pas que j’aurais eu l’occasion d’écrire un nouveau tome.

Alors n’oubliez pas, chers amis, ne marchez pas seuls sur les routes, ne restez pas assis à des tables vides dans les tavernes, célébrez l’aventure avec les personnes que vous rencontrez et buvez à leur santé !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil d’observations et de confrontations face aux dangers de Au

Lorsque l’on explore un monde aussi riche que le nôtre, il est naturel de se perdre dans son immensité et dans ses merveilles. Nous passons alors des semaines, des mois et même des années à parcourir ses routes, ses terres sauvages et ses ruines.

Alors, nous perdons de vue d’où nous venons, pour certains cela fini par ne plus avoir de sens. Ils n’ont alors plus de “maison”, d’endroit où aller, qu’il ait été détruit ou qu’ils aient simplement oublié le chemin pour y retourner.

Ce phénomène est douloureux mais il est souvent trop tard lorsqu’on se rend compte de l’impact qu’il a eu sur notre vie. Complètement déconnectés, nous ne réalisons pas les choses qui ont changé, les vies qui ont évolué, les sentiments qui se sont échappés et les âmes qui nous ont quittées.

Chérissez vos proches, protégez-les, veillez toujours à ce que leurs vies soient les plus heureuses possibles. Ne laissez jamais Au vous envoûter au point d’oublier ce à quoi vous tenez.

Pour Mère

Maison Sirios

Édité par Marth Mah’Naj

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

J’ai fais une découverte il y a peu. Pendant une longue période j’étais obnubilé par mes découvertes et l’écriture du premier carnet. Je mêlais ma propre histoire dans ces pages détaillant les particularités et les légendes entourant toutes ces créatures.

Je m’étais plongé si profondément dans mes rêves et mes observations que j’en ai omis les personnes que j’ai eu la joie de rencontrer lors de mes pérégrinations.

Beaucoup de choses ont changé depuis le premier carnet du Monstrorium, et une des plus significatives est la rencontre de Viceran, un voyageur comme moi, bien qu’il soit plus compétent à l’épée ! Il m’a sorti du pétrin plus d’une fois et sans lui je ne pense pas que j’aurais eu l’occasion d’écrire un nouveau tome.

Alors n’oubliez pas, chers amis, ne marchez pas seuls sur les routes, ne restez pas assis à des tables vides dans les tavernes, célébrez l’aventure avec les personnes que vous rencontrez et buvez à leur santé !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

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Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

J’ai fais une découverte il y a peu. Pendant une longue période j’étais obnubilé par mes découvertes et l’écriture du premier carnet. Je mêlais ma propre histoire dans ces pages détaillant les particularités et les légendes entourant toutes ces créatures.

Je m’étais plongé si profondément dans mes rêves et mes observations que j’en ai omis les personnes que j’ai eu la joie de rencontrer lors de mes pérégrinations.

Beaucoup de choses ont changé depuis le premier carnet du Monstrorium, et une des plus significatives est la rencontre de Viceran, un voyageur comme moi, bien qu’il soit plus compétent à l’épée ! Il m’a sorti du pétrin plus d’une fois et sans lui je ne pense pas que j’aurais eu l’occasion d’écrire un nouveau tome.

Alors n’oubliez pas, chers amis, ne marchez pas seuls sur les routes, ne restez pas assis à des tables vides dans les tavernes, célébrez l’aventure avec les personnes que vous rencontrez et buvez à leur santé !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

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Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

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Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil d’observations et de confrontations face aux dangers de Au

Lorsque l’on explore un monde aussi riche que le nôtre, il est naturel de se perdre dans son immensité et dans ses merveilles. Nous passons alors des semaines, des mois et même des années à parcourir ses routes, ses terres sauvages et ses ruines.

Alors, nous perdons de vue d’où nous venons, pour certains cela fini par ne plus avoir de sens. Ils n’ont alors plus de “maison”, d’endroit où aller, qu’il ait été détruit ou qu’ils aient simplement oublié le chemin pour y retourner.

Ce phénomène est douloureux mais il est souvent trop tard lorsqu’on se rend compte de l’impact qu’il a eu sur notre vie. Complètement déconnectés, nous ne réalisons pas les choses qui ont changé, les vies qui ont évolué, les sentiments qui se sont échappés et les âmes qui nous ont quittées.

Chérissez vos proches, protégez-les, veillez toujours à ce que leurs vies soient les plus heureuses possibles. Ne laissez jamais Au vous envoûter au point d’oublier ce à quoi vous tenez.

Pour Mère

Maison Sirios

Édité par Marth Mah’Naj

Le Monstrorium

de

Ser Barbier de Fausses

Recueil de rencontres et d’aventures aux quatre coins de Au

Depuis mes récents voyages avec Viceran, j’ai réalisé que j’avais largement omis certaines des choses les plus sensibles de notre monde. J’étais jeune et de nature optimiste, c'était normal, mais je ne pouvais pas concevoir qu’un preux chevalier ou un valeureux aventurier puisse perdre ou être abattu par les terribles dangers auxquels il faisait face.

Pourtant c’est bel et bien la réalité de Au et depuis mon constat, je ne vois plus les cicatrices des guerriers en repos comme des traces de gloire passées mais plus comme comme des sillons tragiques, souvenirs de drames révolus.

Alors je m'assois et je me surprends à réfléchir, observer et dévisager - plutôt impoliment - ces faces meurtries jusqu’à ce qu’elles repartent sur les routes en quête du sou.

Et c’est alors que de nouveau mes yeux s’illuminent et mon sourire fend mon visage, l’unique chemin vers les découvertes, c’est tout droit, et aucune blessure ne saura abattre l’esprit de l’aventure ! Alors levons un verre aux guerriers qui n’abandonnent jamais et qui ne reculent devant rien !

Pour Rosie

Maison Joviet

Édité par Guerno Gérande